Bonjour je m'appelle Leslie!

Voici d'atroces histoires qui malheureusement arrivent encore trop souvent:
 
  L'histoire d'Ange

  J'étais dans mon box, j'étais heureux. Mais "ils"sont venus. Moi, innocent, j'ai passé la tête par la porte de mon box et j'ai poussé un joyeux hennissement en voyant tant de monde venir me dire bonjour. Et là, je "les" ai vus. Derrière eux, j'ai vu des cavaliers du club pleurer. Puis j'ai entendu ces mots que je n'ai pas compris: "on ne peut pas avoir autant de chevaux, il faut bien se débarrasser de ceux qui ne nous sont pas indispensable. Or, Ange n'a pas eu de très bon résultats aux derniers concours." Ange, c'est moi. C'était moi. "Ils" m'ont emmené dans un van que je ne connaissais pas. Dedans, il y avait aussi Canelle, une ponette qui s'était blessée à la jambe la semaine dernière. On a fait un voyage assez long puis "ils" nous ont fait descendre dans une cour. Ça sentait bizarre. Le sang, la mort, le crottin... Puis "ils" nous ont fait monter dans un gros camion où il y avait déjà une dizaine de chevaux qui ont hennirent en nous voyant. Mais ce n'était pas un hennissement que je connaissais. C'était un hennissement de peur, de douleur, de détresse. Et là, j'ai commencé à ressentir la Peur. La vraie Peur. Je ne l'avais connue jusqu' ici. Cette Peur que l'on ressent quand on ignore quelque chose de capital. Dans le camion, l'odeur s'est amplifiée. C'était à la limite du supportable. Puis le camion a démarré brutalement. On a roulé longtemps. J'avais faim, j'avais soif. En voyage, j'ai fait connaissance du cheval qui était à coté de moi. C'était Indy, un hongre. Il avait une blessure qui s'infectait peu à peu à la jambe. Puis "ils" ont fait monter d'autre chevaux. Pour qu'on se pousse, ils nous ont fouettés. Et là, Indy a trébuché. Il est tombé. Et un cheval lui a marché sur la jambe. Il ne pouvait plus se relever. Après quelques heures de souffrances horribles, il s'est éteint. Puis son corps a commencé à sentir. C'était horrible. Peu a peu, d'autres chevaux se sont éteints. De soif, de faim, de blessures, de désespoir. Enfin, le camion s'est arrêté. "Ils" ont ouvert la porte. La lumière m'a aveuglée. Les autres chevaux voulaient sortir. Ils m'ont poussé. Je me suis tordu la jambe. J'ai eu mal. Mais j'étais obligé d'avancer dans d'interminables couloirs hantés par le sang, la peur, la Mort. J'ai entendu un cheval hennir, j'ai reconnu Canelle. Ma petite Canelle si courageuse. Puis on est arrivé dans un grande salle avec un planché en fer. Puis, "ils" ont fermé la porte et nous ont laissés là. Pas à boire, pas à manger. Un à un, beaucoup de chevaux sont morts. Ma Canelle aussi. Puis, un jour, "ils" sont venus me chercher. J'ai eu à boire. C'était bon. C'était la dernière chose que j'aurai de bon de ma vie. Ensuite, je suis entré dans un salle où l'odeur, l'ambiance, m'a fait paniquer. Je me suis cabré, je me suis pris un coup de gourdin dans les jambes. Puis, "il" est entré. J'ai senti quelque chose entrer dans ma gorge. J'ai eu mal. Je me suis senti faible. Je me suis couché. Ou plutôt, je suis tombé. Et j'ai su. J'ai eu mal au coeur. J'ai fermé les yeux. Noir......
Ange est mort. Il a rejoint la paradis des chevaux où il a retrouvé Canelle et Indy. Cette histoire ne possède AUCUNE exagération. Tous les jours, des centaines de chevaux subissent ça. Alors, si vous avez un coeur, même de pierre, réagissez.

Cette histoire est horrible alors copiez là partout pour les chevaux. Il faut que les choses changent car aucun cheval même aucun animal ne mérite une chose pareille.

cheval%20gif_52.gif

Aujourd'hui jour de balade, tu viens me chercher dans mon box. Je te fais confiance mais je suis méfiant car le temps n'est pas rassurant. Je te suis. Nous partons tout les deux au pas, tu m'emmène plus loin que d'habitude. Le sol est très glissant. Tu me demandes de galoper, il commence à pleuvoir et je ne vois plus rien...

 Je me réveille,lentement, tu es devant moi et tu pleures, je voudrais te dire: "Ne pleure pas pourquoi tu fais ça ?", je vais pour me lever et je comprend maintenant ta douleur, qui est la mienne. Tout à coup j'entends tes maîtres à toi dire que le camion va arriver, sur le moment je n'est pas compris mais je leur fais confiance alors je suis heureux cela veut dire que l'on va soigner ma jambe! Ta maîtresse me passe le licol et m'emmène vers ce camion. A l'interieur il y a d'autres chevaux certains sont blessés comme moi et d'autre hennissent mais je ne comprend pas ce qu'il disent c'est un hennissement de peur de terreur même. Alors je commence à paniquer je veut partir, mais tes maître me calme il me disent que tout va bien alors je rentre dans le camion. Le voyage commence pour moi, à l'interieur il y reigne une odeur de sang et de pourriture. A côté de moi une jeune jument se rapproche et je vois que  la peau lui colle sur les os, je me dit elle doit avoir un maladie et on va lui soigner  mais je me trompais car au fur et a mesure que les jours passés je devenais comme elle car il n'y avait n'y eau n'y nourriture. Les chevaux tombaient l'un après l'autre devant mon regard, même la jument à mes côtés mourut. Un jour ils ouvrirent la porte du camion pour la première fois depuis mon arrivée. Les humains sortirent les survivants du camion  en les fouétant. Arriva mon tour ils me fouétèrent aussi, pourquoi?, qu'est-ce que j'avais fais de mal?. Ils n'emmenèrent dans une salle où il y avait des chevaux que je ne connaissais pas mais qui étaient tout aussi mal en point . Ils partaient les un après les autres sans jamais revenir. Les humains les emmenaient peut-être directement chez leurs maîtres? Enfin, ils vinrent me chercher. Ils me guidèrent vers une salle où il y avait du sang par terre et des corps de chevaux morts étendus sur le sol! Je voulais partir loin d'ici retourner chez ma maîtresse retrouver ses caresse...Trop tard l'humain à la robe blanche me mis quelque chose dans le coup, je me sentis faible puis tomber. Dans mes dernier instants je repenser à ma vie, j'avais consacré ma vie pour eux et voilà comment ils me remerciait, en me TUANT.

939031286.jpg

PRENEZ LE TEMPS DE LIRE LES HISTOIRES QUI SUIVENT:

Voici l'histoire de Lixia:

J'étais dans mon pré, en train de brouter la bonne herbe de juin. A un mètre de moi, Istory, la jument avec qui je partage mon pré se roulait sur le sol. Plus loin, je voyais la maison de mes propriétaires, avec, à coté, mon box, et celui d'Istory. C'est dans mon box, le plus grand des deux, que je suis née, que j'ai grandi, que j'ai rencontré Julia, la fille des propriétaires, qu'elle m'a pansé pour la première fois, qu'elle m'a bridée et sellée pour la première fois. C'est dans ce pré que nous avons galopées ensemble pour la première fois, et c'est moi qui lui ai fait remporter sa première compétition. Mais, depuis quelques années, mes forces commencent à disparaître, sûrement à cause de mes 25 ans. Cela fait environ trois ans que Julia, me trouvant trop faible pour continuer à voler au-dessus des obstacles, m'a mise à la retraite, et me laisse couler des jours heureux dans ce pré avec Istory. Je regardais ma camarade de pré se rouler avec joie sur le sol, quand j'entendis des pas venir vers moi. Je poussai un hennissement joyeux en voyant Julia, désormais âgée de 30 ans, venir vers moi, un licol dans la main, une pomme appétissante dans l'autre. Je m'approchais d'elle, et elle m'emmena dans la cour, à proximité de mon box, où elle attacha la corde de mon licol. Quelques secondes plus tard, une sensation agréable me parcourus : celle d'une étrille, passée doucement sur ma robe. Une vingtaine de minutes plus tard, après qu'elle ait finie de me panser et qu'elle m'ait mise ma couverture, elle me ramena dans mon pré, où je pus piquer un bon galop avec Istory. Plus tard, une lumière orangée illumina le ciel, et les premières étoiles apparurent. Avec Istory, nous nous sommes allongées sur l'herbe chaude, et nous avons dormi côte à côte, comme toujours depuis désormais 20 ans. Quelques heures après, je me suis réveillée. De soif. J'ai marché jusqu'à l'abreuvoir, mais il était vide. Ce n'est pas grave, je sais que Julia le remplira dès demain matin. J'allais retourner dormir auprès d'Istory, quand un bruit, au loin, a attiré mon attention. Ce bruit je le connaissais vaguement, c'est celui d'un appareil dont Julia se sert parfois pour se déplacer. Mais là, j'entendais très bien plusieurs appareils. Le bruit a réveillé Istory, et nous avons toutes les deux vus une dizaine de ces appareils sur deux roues s'arrêter devant notre pré. Les personnes assises dessus ont enlevés les casques qu'ils portaient. Ils ont discuté un moment, puis sont entrés dans notre pré. L'un d'eux portaient de grandes caisses remplies de bouteilles. Il les a posées, puis, les dix personnes se sont approchées de nous. Par instinct, par peur, Istory et moi avons galopées à l'autre bout du pré. Du moins, nous avons essayé. Car certaines de ces personnes nous ont barrées la route. Je sentais la peur grandir en moi, jusqu'à ce qu'elle laisse la place à la panique. Avec Istory, nous avons toujours essayé de nous enfuir, mais ils nous barraient la route, de tous les cotés. Je ne sais pas pendant combien de temps ils nous ont fait galoper comme ça, mais quand, enfin, ils ont arrêté, j'avais du mal à tenir sur mes jambes. Même lorsque j'allais en compétition, je ne galopais pas aussi vite. Et surtout, j'avais soif. Plus soif que jamais. L'une des personnes a semblé s'en rendre compte, elle a crié quelque chose aux autres, qui ont éclatées de rire avant de dire quelque chose qui ressemblait à "vas-y, essaye, ce sera marrant !". La personne s'est approchée de grands paquets enveloppés dans du carton, et en a sorti des sortes des bouteilles de verre. Il les a ouvertes, et, l'une après l'autre, les a versé dans notre abreuvoir. Enfin ! Je vais enfin pouvoir boire. Je m'approche de mon abreuvoir et bois une longue gorgée Avant de pousser un hennissement déchirant. Je ne sais pas ce qu'il y avait dans ces bouteilles, mais le liquide m'a brûlé la gorge. Mon coeur s'accélère. Je repars au galop, effrayée par cette brûlure qui m'a traversé au moment où j'ai bu ce liquide étrange. Puis je m'arrête. De fatigue. Ce liquide fait battre mon coeur de plus en plus vite, et j'en peux plus. Je m'effondre sur le sol. J'entends Istory galoper vers moi. Mais je n'arrive plus à la voir. Je n'ai plus qu'une seule force : celle de hennir, le plus fort que je put. Quelques secondes après mon hennissement de détresse, j'entends des pas courir vers moi. Les humains repartent avec leurs machines sur deux roues. Je vois une humaine courir vers moi et tomber à genoux à mes cotés. Julia Mais je sais qu'il est trop tard. Je n'ai plus de force, plus de souffle. Tout se brouille autour de moi. Je n'entends plus rien, Je ne vois plus rien, Noir.

Lixia est morte . Elle est allée au paradis des chevaux, où elle galope désormais librement, loin de ces monstres qui l'ont tuée. Faites quelque chose, et luttez, par tous les moyens possibles, contre ces criminels qui n'ont rien d'autre à faire que d'épuiser nos chevaux avant de les forcer à boire de l'alcool  ! Copier ces histoires sur vos fiches, et partout ailleurs, ces histoires doivent circuler...

 


Avant, j’étais une petite ponette blanche, belle, douce, j’avais un petit poulain d’un mois qui gambadait autour de moi, qui se collait contre moi, qui venait téter.
J’étais entourée de ma famille, mon étalon, et mes amies humaines.
Le mois d’août n’a pas été très beau, mais l’herbe était grasse et succulente.
Bref, je coulais des jours heureux entourée des miens et câlinée par mes amies humaines.Dans la nuit du vendredi 20 août, soudain, j’ai entendu du bruit.
Je ne me suis pas méfiée, tout le monde m’aime, je suis l’amie des enfants, leur premier cheval, pourquoi me voudrait-on du mal ?
Et tout à coup, il y a eu une pluie de coups, durs, très durs, pointus, très pointus. On m’a crevé un œil, cassé des dents, brisé la nuque. J’avais la tête transpercée de piques !
Oh non ! C’était horrible. On s’acharnait sur moi, avec une force, une cruauté ! Mon Dieu, comme j’avais mal ! Mon Dieu, comme j’avais peur ! j’ai tellement mal, je prie pour que ça s’arrête mais non, les coups continuent !
Et mon poulain…ou est il ? Je voudrais me relever, mais je ne peux pas … je ne peux pas … je ne … peux … pas …
Je suis au ciel. Et je regarde en bas.
Ouf, mon petit est en vie, ils ne l’ont pas eu.
Ma famille est tremblante, anéantie par ce qui vient de se passer sous ses yeux. Mon étalon, mon bel étalon, il est penché sur mon corps inerte. Il a la tête baissée. Il ne peut pas y croire. Il est horriblement malheureux, les choses se sont passées si vite, si violement, qu’il n’a pas pu réagir, me sauver.
Mes autres compagnons, sont terrorisés eux aussi.
Le lendemain matin, appelées par mon étalon désespéré, mes amies humaines accourent et découvrent le tableau macabre.
Je suis au ciel, et je regarde en bas.
Il y a des gendarmes – un vétérinaire - des journalistes. Et il y a mes amies humaines qui pleurent, sous le choc.
Heureusement, elles s’occupent de mon petit. Il faut me remplacer auprès de lui, lui donner le biberon, il faut qu’il continue à vivre.
Je suis au ciel, et je regarde en bas.
Moi je ne demandais rien à personne, je voulais juste vivre tranquille dans mon pré, avec mon petit, et ma famille.
Je suis au ciel, et je regarde en bas.
S’il vous plait, ne soyez pas indifférent. Arrêtez les coupables, et punissez les, sinon je ne pourrai jamais être tranquille, mon petit est en danger, les vôtres aussi.
C'est une association qui a écrit sa . Et c vrai .
On l'a retrouver affubler de coups .