salut a tous les joueurs d equideow
Je te connais car:
1)Tu es à l'ordinateur
2)Tu surfes sur internet
3)Tu joues sur Equideow
5)Tu lis ma page de présentation
6)Tu n'as pas remarqué que j'ai oublié le numéro 4
7)Tu vas vérifier
8)Tu souris
9)Tu copies ceci si ça t'as plus
Un simple copain ne t'as jamais vu pleurer.
Un véritable ami a les épaules trempées de tes larmes.
Un simple copain ne connaît pas les prénoms de tes parents.
Un véritable ami a leurs numéros de téléphone dans son carnet d'adresses.
Un simple copain déteste quand tu appelles après qu'il soit allé se coucher.
Un véritable ami te demande pourquoi tu as mis tant de temps à appeler.
Un véritable ami s'informe de ta romantique histoire d'amour.
Un simple copain pourrait te faire du chantage avec.
Un simple copain pense que l'amitié est finie quand vous avez une dispute.
Un véritable ami t'appelle après une dispute.
Un simple copain s'attend que tu sois toujours là pour lui.
Un véritable ami est toujours là pour toi.
Un simple copain lit ça et n’en fait rien.
Un véritable ami le lit et la colle sur sa fiche.
Je n'avais que 6 mois et demi, lorsque l'éleveur vint me chercher au petit matin, ma mère dormait encore.Il me passa un licol, et m'emmena, je pensais qu'on allait se promener alors je me laissai faire.Il m'emmena vers un énorme camion dans lequel il avait d'autres chevaux, et ils hennissaient tous plus forts les uns que les autres.J'entendis tout un coup l'hennissement de ma mère, je voulus la rejoindre, mais l'homme m'en empêcha il me tenait, et je tirai de toutes mes forces pour rejoindre « maman », mais quelque chose me fit mal, et j'arrêtai de tirer on m'obligea a coup de fouet et de bâton à monter-Maman, pourquoi tu ma laisser partir, pourquoi tu ma pas sauver, pourquoi, pourquoi ? Je restai silencieux durant tout le voyage.Il dura plus de 20 heures, on devait rester debout, je commençais à avoir soif et faim, je hennis espérant que l'on me donne eau et nourriture, mais je n'eu rien.Rien du tout.On nous débarqua dans un immense hangar humide et sombre. Je fus le premier à sortir.On m'attacha plus loin, et je pus voir, avec des yeux de 6 mois, la mort,plusieurs cadavres de chevaux, de poulains étaient sortit, puis étendus devant moi, devant mes yeux.On me tira de force dans un couloir.Je hennis plus fort, me volant mes dernières réserves de santé.On me forçat à avancer, et puis tout d'un coup, quelque chose me tomba dessus, je n’eus pas le temps de regarder, mais je pus sentir, un liquide chaud, qui coulait sur mes membres avant que je découvris...du sang!! et je compris l'incompréhensible...J'étais en train de mourir, et mes dernières pensées fut pour ma chère mère, elle qui aujourd'hui était si loin de moi, elle qui, dès demain revivra la même histoire, avec un autre poulain, et son calvaire ne se finira que, lorsqu'elle n'aura plus la force de donner la vie, pour qu'on lui prenne aussi vite....Copiez ces histoires partout pour que le monde réagisse. C'est intolérable!!
J'étais dans mon box, j'étais heureux. Mais "ils"sont venus. Moi, innocent, j'ai passé la tête par la porte de mon box et j'ai poussé un joyeux hennissement en voyant tant de monde venir me dire bonjour. Et là, je "les" ai vue. Derrière eux, j'ai vu des cavaliers du club pleurer. Puis j'ai entendu ces mots que je n'ai pas compris : "on ne peut pas avoir autant de chevaux, il faut bien se débarrasser de ceux qui ne nous sont pas indispensable. Or, Ange n'a pas eu de très bon résultas aux derniers concours." Ange, c'est moi. C'était moi. "Ils" m'ont emmené dans un van que je ne connaissais pas. Dedans, il y avait aussi Canelle, une ponette qui s'était blessé à la jambe la semaine dernière. On a fait un voyage assez long puis "ils" nous ont fait descendre dans une coure. Ca sentait bizarre. Le sang, la mort, le crottin... Puis "ils" nous ont fait monter dans un gros camion oú il y avait déjà une dizaine de chevaux qui ont hennis en nous voyant. Mais ce n'était pas un hennissement que je connaissais. C'etait un hennissement de peur, de douleur, de détresse. Et là, j'ai commencé à ressentir la Peur. La vraie Peur. Je ne l'avais connue jusquici. Cette Peur que l'on ressent quant on ignore quelque chose de capital. Dans le camion, l'odeur s'est amplifié. C'était à la limite du supportable. Puis le camion a démarré brutalement. On a roulé longtemps. J'avais faim, j'avais soif. En voyage, j'ai fait connaissance du cheval qui était à coté de moi. C'était Indy, un hongre. Il avait une blessure qui s'infectait peu à peu à la jambe. Puis "ils" ont fait monter d'autres chevaux. Pour qu'on se pousse, ils nous ont fouettés. Et là, Indy a trébuché. Il est tombé. Et un cheval lui a marché sur la jambe. Il ne pouvait plus se relever. Après quelques heures de souffrances horribles, il s'est éteint. Puis son corps a commencé à sentir. C'était horrible. Peu a peu, d'autres chevaux se sont éteints. De soif, de faim, de blessures, de désespoir. Enfin, le camion s'est arrêté. "Ils" ont ouvert la porte. La lumière m'a aveuglée. Les autres chevaux voulaient sortir. Ils m'ont poussé. Je me suis tordu la jambe. J'ai eu mal. Mais j'étais obligé d'avancer. Dans d'interminables couloirs hantés par le sang, la peur, la Mort. J'ai entendu un cheval hennir, j'ai reconnu Canelle. Ma petite Canelle si courageuse. Puis on est arrivé dans une grande salle avec un planché en fer. Puis, "ils" ont fermé la porte et nous ont laissés là. Pas à boire, pas à manger. Un à un, beaucoup de chevaux sont morts. Ma Canelle aussi. Puis, un jour, "ils" sont venus me chercher. J'ai eu à boire. C'était bon. C'était la dernière chose que j'aurais eu de bon de ma vie. Ensuite, je suis entré dans une salle oú l'odeur, l'ambiance, m'a fait paniquer. Je me suis cabré, je me suis pris un coup de gourdin dans les jambes. Puis, "il" est entré. J'ai senti quelque chose entrer dans ma gorge. J'ai eu mal. Je me suis senti faible. Je me suis couché. Ou plutôt, je suis tombé. Et j'ai su. J'ai eu mal au coeur. J'ai fermé les yeux. Noir...... Ange est mort. Il a rejoint le paradis des chevaux ou il a retrouvé Canelle et Indy. Cette histoire ne possède AUCUNE exagération.
Tous les jours, des centaines de chevaux subissent ça.
Alors, si vous avez un coeur, même de pierre, réagissez.
Faites un copier-coller sur vos fiches, et partout ailleurs, ces histoires doivent circuler !
penser à eux!!!!!